mercredi 16 décembre 2015

Neuroleptie ou freudisme ?

Albert Hoffman ne découvre pas vraiment la synthèse de psylocine, mais des traces de cendres humaines aux bois, aux champs.

Phénobarbital ( "sédatif anti épilepsie ) est un produit de la psylocine de synthèse existant 30 ans avant Albert Hoffman.

Psylocine est une toxine analogue de l'amanite phalloïde ; le psylocibe est extrait en Stropharia vert de gris puis synthétisé.

La psilocine diméthylamino)éthyl]-1H-indol-4-ol 4-HO-DMT produit un Nitrazépam Phénobarbital avec le risque du Tétrazépam au taux sulfamide.
Phénobarbital est un précurseur de la MDMA.

Le freudisme bien avant Albert Hoffman utilisait la neuroleptie de la cocaïne qui est une plante soumise à des lysergies naturelles.

Neuroleptie ou freudisme ?

Au paradoxe psychologique de conscience et de réflexion, freudisme est overdose, terme inadéquate. Le freudisme n'est pas un terme acceptable, Sigmund Freud étudia concept de neuroleptie qui est le passage de l'esprit en éveil au sommeil.

Déjà en début 20e par fin 19e est constaté que " l'alcool est un sédatif nuisible cause de comas mortels même sans addictifs.

Le concept de sédatif au terme est un anesthésiant dit " local " utilisé directement sur les organes endoloris, pas forcément somnifère.

La cocaïne est un sédatif neuroleptique, qui est hallucinogène.

Toutes actions neuroleptiques sont hallucinogènes au concept de psychologie.
Entre phase de sommeil et l'éveil est un voile de perception qui permet d'affirmer la neuroleptie hallucinogène. Une différence entre les neuroleptiques et les hallucinogènes est définie par l'activité visuelle différenciée du psychisme psychologique. L'action d'un neuroleptique aux termes des définitions d'hypnotiques est hallucinogène.


En fin 20e suite aux génocides par les fédérations américaines sur Berlin par actions du nazisme asiatique concept de neuroleptie hypnotique est méthode d'abus de confiance, d'endoctrine aux crimes contre l'humanité, d'incitation à violence.

Phénobarbital fut mis sur le marché comme forme de substitut à la cocaïne dont les excès provoquent une épilepsie mortelle à l'AVC.
Phénobarbital sédatif anti anxiolytique fut promulgué ant épilepsie au terme de la substitution de la cocaine qui est neuro anxiolytique
.
Aux procédés d'extractions et synthèses de la psylocine est une cocaïne modifiée qui permet conception de sédatifs à actions neuroleptiques.

L'étude Shimerabao porte à l'article sur capacités médicales de fournir substituts aux toxicomanes à risques avec des centres à cathéters.
Shimerabao tient le propos de la nécessité de " centres à cathéters " différenciés des cliniques de soins généralistes.
Des centres à cathéters " avec des traitements tels " Phénobarbital à étudier peuvent être ouvert à des populations non sidatiques ; mais le sujet principal est une réduction de foyers de contaminations du VIH.

Aux actions de sécurisations de fournitures de cocaïne pour Sigmund Freud fut " Albert Einstein " en étude d'amines lysergiques.

L'utilisation de cendres humaines aux cultures destinées à l'esprit humain est nazisme ; le judaïsme coupable d'endoctrines endo cannibales.

Shimerabao, shimeraboa ; le VIH est présenté comme une sorte de super venin de boa destiné à pré digérer l'organisme de futures victimes.
Comme pour attirer les populations dans la gueule ouverte d'un boa est le concept dit en " chimère " de propagation virale sidatique.
Le VIH est un viral de " laissé périr, qui pour des prédateurs peut aller jusqu'à fertiliser des espaces fruitiers par la graisse animale.
Pour un boa, une proie trop massive peut être abattue par méthode de rabattages d'insectivores charognards mais aussi de frugivores.

La botulique botox ( caractéristique du subutex ) est ce qui différencie la psylocine de l'amanite phalloïde.
Le coma alcoolique est au concept de neuroleptie, une action botulique dite " sentiment de chanceler.

L'exemple du " Phénobarbital et analogues " n'est pas botulique c'est une sorte de risperidone x60 sédatif produite à partir de psylocine.
Il existe même des génériques du risperidone par le Sandoz de Albert Hoffman.

Aux crimes contre l'humanité, même vendre du papier mâché est plus intéressant pour la médecine que de prodiguer un soin.
Qu'importe soit l'ordonnance médicale, si est question de neuroleptiques, la médecine n'est pas autorisée cause d'abus de confiances, d'abus d'initiés, de recels d'abus de biens sociaux, de ventes forcées de prothèses par actes de torture, d'assassinats à grandes échelles.
Neuroleptie médicale en est inexistante au terme, il est question de psychothérapie, de psychiatrie, à l'ordonnance inadaptée neuroleptique.

Cité à l'article, le tétrazepam au syndrome de Stevens-Johnson est une abrasion cutanée comparable à une digestion par un reptile.
Les " anti-inflammatoires contenant de la pseudo éphédrine sont un risque aux états de conjonctivites. La psylocine contient un " antibiotique ; pour une synthèse d'extractions il est ajoutés aux ferments.
Au Phénobarbital elle est diluée.

A la dilution d'un concentré diethylamine de saur, est le terme " déconcentration ; spécifique des années 1940 avec le débarquement.

Le LSD concentré est un risque d'action botulique du système nerveux central qui est dégénérative.

Le type phénobarbital est alors destiné à une action neuroleptique anti anxiolytique permettant d'éviter l'effet botulique de la psylocine.

La methyl magnésio carbonate de phénobarbital est une DMT contenant le PCP en fluorobenzo déca dién one.

Au phényl, benzo d'essence est hydrolysé ; au diéthyle il peut servir à dissoudre le H20 augmentant le séchage du méthyle.

Le " syndrome de Stevens-Johnson " est une modification des taux aqueux sanguins en phényl par action d'un benzène " benzodiazépine.

Le potassique sulfamidé est une agent de décomposition organique ; tous isomères de la paraffine sont d'effet lacérant pour l'épiderme.

Un médicament ne doit pas être décapant ; le seul paracétamol provoque des inflammations de muqueuses ; comme un produit pour récurer les WC.

A l'exemple pour la gensive, un cataplasme " paracétamol ibuprofène " est nocif et inefficace contre la douleur.

Au sujet Shimerabao d'un " centre à cathéters " ; ibuprofène paracétamol dilués est législativement criminel plus que la cocaine.

Le propos est un substitut cocaïnique à effet neuroleptique anti anxiolytique dérivé de la psylocine de type sédatif.

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